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Ahhhhhhh, que faire ? Que dire ? Bien sûr, vous, l'angoisse de l'écran noir, vous connaissez pas. Mais pour moi, qui dois écrire des articles sur tout ce que je vois, sur tout ce que je touche (à l'exception de ma copine et de mon chien), sur tout ce que je sens, c'est très dur de trouver chaque semaine une introduction digne de ce nom.
Tout ça pour vous dire qu'une fois de plus, je ne sais pas comment commencer cet article, qui d'après Chériff, notre coursier de compétition, est très mal parti (l'article, pas Chériff). Mais enfin bon, on s'en fout, après tout, hein. Hein ? Ouais, bon. Donc, je veux vous entretenir, en cette belle et chaleureuse journée, de One. Ça raconte l'histoire d'Alfred Martinien et de Valentin. Le premier est babysitter, le second est babysitté. Manque de pot pour Alfred, Valentin est un vrai petit démon, qui n'arrête pas de faire que des bêtises. Quand t'es pas là ? Quand t'es pas là. En gros, ça me rappelle Jack the Nipper de Gremlin Graphics. Dans One, vous n'êtes pas Alfred, qui doit essayer d'éviter toutes les pièges de Valentin, mais Valentin, qui doit tendre plein de pièges à Alfred, du genre laisser traîner des peaux de banane par terre pour qu'il (Alfred, bien sûr) glisse dessus, mettre des seaux d'eau sur les portes entrouvertes... A chaque fois qu'Alfred est la victime malheureuse de Valentin, il se met en colère, rougit, et poursuit le petit pour le frapper. Je peux pas vous dire toutes les astuces de ce jeu, ça prendrait trop de place. Déjà que le scénario a été bien étudié, les graphismes sont très chiadés. D'ailleurs, regardez bien la photo d'écran, là, pas loin, et vous le verrez bien par vous-même (ah oui, au fait, c'est une nouveauté de l'HHHHebdo : devant la demande croissante de nos lecteurs et les supplications incessantes d'un photographe au chômage, nous avons décidé de vous passer de plus en plus des photos d'écran. Keskondit à tonton HHHHebdo ? Hmmmm ?). Sur la photo, vous n'avez pas le personnage d'Alfred, et c'est bien dommage : on le croirait tout droit sorti d'un dessin animé de Tex Avery, et j'vous jure que c'est pas des conneries. Les chiffres que vous voyez, représentent les poches de Valentin, et les dessins de dessous, leur contenu : seau, peau de banane, râteau, ballon... Par contre, côté sonorisation, c'est pas vraiment la joie : seuls quelque bruitages, bien réalistes il est vrai, viennent se faire entendre. Il paraît que c'est parce qu'il y avait plus assez de place en mémoire pour faire une musique, alors bon. Pour la petite histoire, sachez que le titre "One" a été choisi parce que c'était le premier logiciel d'EH services, mais il est distribué par d3m Software pour des questions de pognon. Mais on a conservé le titre One et voilà. En conclusion, je vous ordonne d'aller illico acheter One de d3m Software pour Amstrad. HEBDOGICIEL |
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Page créée en 313 millisecondes et consultée 6337 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
