Svoir ces caucnemars esi ae|a un problème, mais si en plus, dans cet univers anti-onirique Il faut se battre, là je dis non! Remarquez, que je dise oui ou non, ça change rien, car les faits sont là, je vais devoir me battre dans des décors cauchemardesques, contre des créatures hideuses. ![](https://cpcrulez.fr/img/6/no-exit-cart-4.png)
Ceci dit, moi, dans mes pires cauchemars, j'ai une légère tendance à me transformer en monstre géant, sautillant, gros et musclé, et ayant les traits communs aux créatures du diable. Le côté positif de cette mutation, c'est que je frappe plus fort avec les gros poings qui sont les miens, dans cet état. Très utile, car les ennemis que je rencontre de décor en décor, de tableau en tableau, sont de plus en plus résistants et de plus en plus forts. Coups de poings, roulades, coups de pieds sautés, balayages, nombreuses sont les techniques de combat que j'utilise. Et si mon ennemi meurt, j'aurai le plaisir de le voir s'arracher la tête, faire quelques pas, et s'écrouler au sol le tout avec des geysers de sang. Beuark! Les décors de No Exit sont assez jolis, l'ambiance bizarre et angoissante est bien rendue. Les sprites eux, sont beaucoup moins bien faits. Selon les positions, on voit des escaliers de pixels sur les bras, par exemple. Mais ça, c'est dû à la résolution de la machine. Les animations ne sont pas vraiment fluides, et les déplacements assez étranges. Abordons le vrai problème du jeu: !e peu de durée de vie, et la monotonie qui s'installe trop rapidement. Il n'y a que six tableaux différents, et en plus, au bout de deux parties, on arrive déjà au quatrième, Ens'acharnantun peu, il n'est pas dur de faire le tour. Parlons un peu de ce qui sort des deux haut-parleurs: le son. La page de présentation, assez jolie, est accompagnée d'une bonne musique et le jeu bénéficie, lui, de bruitages assez ringards.Pour son premier jeu sur GX 4000, Tomahawk n'a pas fait un soft incontournable. Saluons tout de même le faitqu'il s'aventure dansce domaine, développer sur une machine nouvelle n'est jamais bien simple, et espérons qu'à l'avenir ils nous présenteront des softs plus intéressants. A conseiller uniquement aux inconditionnels des jeux de baston, ou à ceux qui aimeront se battre contre leur petit copain par console interposée, car l'option deux joueurs est disponible. SEB GRAPHISMES: 15 ANIMATION: 12 SON: 13 MANIABILITE: 12 GLOBAL: 58% PRIX 269 FRANCS SEB , JOYSTICK ( NOVEMBRE 1990 ) , page 125 |