Toutes les grandes instances de la planète sont sur le qui-vive ; en effet, des pirates de l'espace ont capté les communications entre les différents centres de recherche de la planète et le vaisseau-mère qui se trouve dans l'espace. Lorsque vous saurez que la planète est peuplée par une espèce d'humanoïdes qui sont technologiquement avancés, vous comprendrez alors facilement toute l'ampleur des dégâts qui risquent de se produire une fois que les pirates ont envahi le vaisseau. Une seule solution pour éviter ce carnage : vous, le savant Elîthios, devez vous échapperdu vaisseau par une navette en portant avec vous tous les précieux microfilms tant convoités par les pirates. Seulement, il y a un petit problème pour s'échapper : il faut d'abord retrouver les 3 codes d'ouverture du SAS de la navette. A cette fin, il va falloir explorer toutes les pièces du vaisseau et affronter les nombreux pièges installés par les pirates comme des mines qui sont difficilement repérables aux yeux non-initiés et des pointes acérées qui, en général, se trouvent juste en-dessous de flèches symbolisant des champs antigravitationnels et qui vous font subir inexorablement une ascension inéluctable... Vous avez encore d'autres «gâteries» comme de hautes flammes, des cyborgs qui explosent après un certain nombre de contacts ou les pirates en personne qui, après un court temps de réflexion, fournissent un tir nourri. Mais comment leur riposter puisqu'au début vous êtes complètement désarmé ? Heureusement, certains salles contiennent des cages métalliques dans lesquelles vous pouvez récupérer des munitions d'une part et les codes A, B, C d'autre part. Maintenant que vous avez en main tous les éléments pour mener à bien votre évasion, à vous de jouer !... Notre avis : Humanoïd est relativement complet par les pièges proposés et le nombre de pièces existantes. D'ailleurs, pour vous y retrouver sans trop de problèmes, commencez donc par faire un plan. Enfin, les graphismes sont soignés et chaque écran offre des couleurs variées et agréables. AMSTAR&CPC n°29 (Janvier/février 1989)
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