 Comme son nom l'indique, cet utilitaire ARNOR est un correcteur orthodontigra-phique. Bien que le logiciel réside en ROM, il faut malgré tout disposer d'un dictionnaire sur disquette. Le menu DICTIONARY UTILITIES propose justement d'en initialiser un. Dont acte, sinon quoi le test s'arrêterait là, provoquant syncopes et crises d'hystérie indésirables. Gare, toute la face sera formatée, PROSPELL n'utilise pas de fichiers, son propre système facilitant l'accès direct. Jouissant d'un peu de place entre deux paragraphes (remarque typiquement absurde), j'en profite pour signaler la médiocre gestion des lecteurs. Il faut gruger, dès lors que le texte et le dictionnaire se trouvent sur lecteur B. PROTEXT simplifie les choses, puisque l'on peut vérifier le texte en mémoire. Seulement, l'interaction s'arrête là, ce n'est pas la peine d'espérer une correction ou complétion automatique lors de l'édition... (Vivement l'éditeur de TBO !). Reste à remplir le dictionnaire, soit mot par mot, soit d'après un fichier texte. On pourra réitérer l'opération, les nouveaux mots s'ajoutant aux anciens. œuf corse, les fichiers références se devront d'être exempts de fautes d'orthographe.
Peste et putréfaction ! (En milieu de repas, cette exclamation produit toujours son petit effet). Que l'interface soit en anglais, peu importe, il n'y a rien de bien compliqué. L'ignominie porte sur la façon dont les mots français se voient digérés : les accents sont considérés comme des séparateurs ! Par exemple, la présence du mot schématique dans le texte référence aboutira à l'entrée dans le dictionnaire des mots « sch » et « matique » ! En revanche, l'apostrophe n'est pas prise pour séparateur ! Ainsi, « l'avion » est stocké comme un seul mot. Pire, si votre dictionnaire contient « accident », et votre texte « l'accident », le rapprochement ne sera pas fait... Aucune analyse un tant soit peu poussée n'est effectuée, toutes les déclinaisons et conjugaisons doivent être stockées. Une erreur de grammaire (inversion participe/infinitif par exemple) ne sera ainsi donc alors évidemment par conséquence et pour cause pas repérée. Il n'y a pas de distinction nom propre / nom commun, ni même d'option pour désactiver la vérification des mots en majuscule. 
Un fichier d'une douzaine de Ko nécessite une minute de traitement, c'est long (sauf accompagné d'un massage). Sous PROTEXT, on peut limiter la vérification à un bloc, ce qui se révèle bien pratique pour sauter les passages assembleur, BASIC... A chaque mot non trouvé dans le dictionnaire, il vous sera proposé de le stocker, de le remplacer, ou de chercher le mormon le plus proche (option d'une efficacité qui fait rire). Bref, ce programme possède tous les inconvénients d'une secrétaire analphabète anglophone sans en avoir les avantages (!?). Madram , AMSLIVE n°19
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CPCrulez[Content Management System] v8.7-desktop/c
Page créée en 699 millisecondes et consultée 1941 foisL'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
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