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Les pièces qu'on mettait dans les bornent allaient ... Dans une vulgaire caisse en plastique.
Plus sérieusement, la somme allait dans la poche de l'entreprise qui mettait à disposition les bornes et c'est tout. Et comme c'était en liquide, à mon avis, elles ne rapportaient officiellement pas beaucoup.

Evidemment, comme c'était souvent dans un bar, il y avait un contrat de location pour la mise à disposition des machines de jeux. (arcade, flipper, baby foot, ...)

Après, il est aussi possible que le proprio des lieux ait investi dans le matériel pour que l'argent rentre directement dans ses poches. (et souvent tu avais le même jeu pendant 20 ans dans le même bar, jusqu'à ce que la machine lâche)

Comme le marché n'était pas très contrôlé et que les années 80 étaient glorieuses pour l'arcade, au lieu d'acheter les vrais cartes (plusieurs milliers de francs), certains ont eu recours à un marché parallèle ou tu avais les même programme, mais en version pirate, pour quelque centaines de francs...

Nous avons vraiment connu l'existence des "bootleg" grâce à l'émulateur MAME, car ils sont plus faciles à faire tourner. (dénué des systèmes de protections, comme le cryptage des ROMs)

Voilà ; Le marché de l'arcade aura beaucoup profité aux gens malhonnêtes, comme à chaque fois où il est facile de se faire du black... (dragon ou tiger)
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Parenthèse fermée, ce jeu espagnol souffre d'un défaut inhérent à quasi tous les jeux de plate-forme sur micro : Aucun effort sur la physique des personnages.

x++, y++ Voilà à quoi doit se résumer le déplacement des sprites.
Par pitié, un minimum d'effort sur le gameplay rendrait tellement plus intéressant les jeux de plate-formes !!!

Dire que Mario, Metroid, et j'en passe... Montrent l'exemple depuis plus de 30 ans et que personne s'efforce de voir comment Nintendo (maître du gameplay aux petits oignons) a pu coder cela... C'est bien dommage.

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Cent Pour Cent

en théorie chez nous les bornes étaient soumises à licence, à l'instar des flippers elles étaient considérés comme un cas particulier parmi les machines à sous car sans gain possible. il fallait même payer une vignette et il y avait un truc à déclarer à la municipalité je crois.

par contre, quand dans un truc genre flunch, club de vacances, salle de réception tu tombais sur une borne en freeplay la plupart du temps c'était un bootleg (dans mon expérience souvent du jap) tiré de la version jap avec les inévitables bugs graphiques à droite à gauche. ça coutait moins cher à faire installer parce que casquer pour une borne qui ne rapporte pas...

Oui. La licence était payée par l'exploitant et une vignette était apposée sur la machine.
J'avais complètement oublié cela. Merci.

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