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| 12/3.2 - Le lecteur de disquettes FD1 | Coding Classeurs Weka |
12/3.2 - Le lecteur de disquettes FD1Répétons-le, les interventions au niveau de la mécanique et de la carte électronique principale d'un lecteur de disquettes (quel qu'il soit) ne sont pas à la portée de l'amateur, mais réservées à des ateliers très spécialisés possédant l'outillage et l'instrumentation indispensables. Cependant, le lecteur AMSTRAD FD1 contient également des circuits beaucoup plus simples, notamment d'alimentation, qu'il n'est pas interdit de dépanner si le besoin s'en fait sentir ! La figure 1 reproduit l'éclaté de ce lecteur autonome, ainsi que du boîtier d'interface DDI1 contenant le contrôleur nécessaire pour connecter le FD1 aux CPC 464 : il n'en faut pas davantage pour pouvoir lever le capot en toute sécurité. Le schéma du contrôleur se trouve à la page 5 de la partie 2, chapitre 3.5 : d'un point de vue maintenance, on doit le considérer comme faisant partie intégrante de l'unité centrale, ce qui est d'ailleurs le cas sur les CPC à lecteur de disquettes incorporé pour lesquels le FD1 joue le rôle de lecteur additionnel. En complément, la figure 2 fournit le plan d'implantation de son circuit imprimé. La figure 3 reproduit donc uniquement les schémas du FD1 proprement dit : à gauche, celui de la carte principale indissociable de la mécanique et donc en principe intouchable, en bas à droite celui de l'alimentation secteur totalement indépendante de celle de l'unité centrale. S'y ajoute une carte relais ne jouant qu'un simple rôle de transition entre connecteurs de types différents mais pouvant fort bien, à la longue, être le siège de mauvais contacts.
Côté secteur, on rencontre un fusible (1A temporisé, valeur à respecter scrupuleusement et à ne surtout pas augmenter), un interrupteur, un filtre antiparasites et le transformateur à disjoncteur thermique incorporé : en cas d'échauffement excessif, prévoir un refroidissement complet avant tout contrôle du primaire. Côté basse tension, un redresseur fort classique précède trois régulateurs indépendants, pouvant bien sûr tomber en panne séparément ou ensemble. La figure 4 montre que cette alimentation est câblée sur deux circuits imprimés distincts : un pour la partie secteur, sur lequel il faudra veiller à ne remplacer les composants que par des types assurant au moins la même sécurité, et une carte basse tension rassemblant redresseur et régulateurs. L'interconnexion fait largement appel à des connecteurs, ce qui facilite la maintenance mais peut favoriser les mauvais contacts intermittents. La figure 5, enfin, décrit la plaquette relais assurant le transit des connexions vers le connecteur normalisé dont est équipé le lecteur proprement dit. C'est à ce niveau que l'on pourra facilement intervenir pour tester rapidement le fonctionnement du moteur d'entraînement et du moteur pas à pas de la tête, en appliquant des niveaux logiques externes au lecteur préalablement débranché (voir le rôle des signaux en Partie 8, chapitre 1.2).
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