★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ THUNDER JAWS (c) DOMARK/TENGEN ★ |
A100% |
Z'avez quelque chose à faire ? Heu... qui, mai ? Ben oui, vous. Alors ? Euh... non. Enfin... Super, l'êtes engagé. Enfilez-moi c'te combi' et prenez connaissance des notes posées sur la table, là. De plus en plus sévères ces contrôles de sauveur de la Terre.Vous voilà donc à nouveau avec une lourde responsabilité sur les bras. En l'occurrence, la destruction de l'antre sous-marin de Madame Q (la pauv' fille. Ça m'étonne pas qu'elle en veuille au monde entier avec un nom pareil). Cette dernière ayant eu la mauvaise idée de construire toute une armée de mutants cybernétiques pour envahir le monde. Bouh ! la coquine ! C'est pas beau de vouloir faire des surprises pareil). Elle a décidé que ce serait elle ou l'humanité. et grâce à vous, ô magnifique héros, ce sera elle. SEARCHING ... Tout chemins mènent à Rome, comme aurait dit Jules au temps de sa splendeur. Et, effectivement, un seul chemin mène chez Madame Q. Je sais, ça n'a aucun rapport. Bref, vous vous retrouvez, au début de votre aventure, dans l'eau humide de la mer. en combinaison de plongée. Armé d'un petit pistolet, apparemment étanche, il ne vous reste plus qu'à jouer des palmes et à vous méfier des requins et autres plongeurs ennemis qui vous arrivent dessus d'un peu partout. Suivez les reliefs du décor afin de ne pas vous retrouver bloqué. Au bout d'un moment, lorsque vous aurez plein de crampes aux jambes, vous vous retrouverez devant une porte sur laquelle il vous suffira de tirer pour vous retrouver dans la première base. A l'intérieur de celle-ci, vous aurez à affronter de nouveaux ennemis : des robots et des chiens mécaniques. Certains adversaires, à leur mort, déposeront de nouvelles armes (lance-flammes, missiles, mitraillettes) que vous vous empresserez de ramasser afin d'augmenter votre puissance de feu. Mais vous aurez vite fait de vous débarrasser de ce menu fretin pour vous retrouver devant un énorme vaisseau... qui ne vous posera aucun problème, fui non plus, les missiles qu'il vous envoie passant au-dessus de voire auguste chef. SEEK AND DESTROY Apres être replongé pour quelques instants dans les flots céruléens de la grande bleue, qui seront – crash de Boeing oblige – beaucoup plus pollués, vous accéderez à une plate-tonne pétrolière toujours aussi mal fréquentée (mais Que fait la police ?), au bout de laquelle vous attend un boss indescriptible. Ça ressemble à trois cloches jaunes qui montent et qui descendent. Et ça vous tire dessus. C'est tout ce que je peux vous dire. Là encore, pas de malaise, il vous suffit de sauter assez haut (pour cela, combinez tire et la direction haut) et de tirer sur ces hétéroclites engins. LA CROISIERE S'AMUSE La suite de notre voyage d'agréments nous emmène sur les abords d'une île mââââgnifique au centre de laquelle trône un sûûûperbe volcan. Dîîîîvin, n'est-ce pas ? Pour accoster sur cette île, vous devrez effectuez un dernier plongeon en eaux troubles, celles-ci servant d'antre à un sous-marin qui, une fois défait, vous laissera libre de vous rendre à l'intérieur du volcan.
Je ne vous le révélerai d'ailleurs pas, car allez enfin rencontrer... Madame Q ( en plus je viens d'apprendre qu'elle s'appelle Pierrette. Vous voyez les initiales... ) ! D'abord représentée par une petite tête, vous vous dites que ça va être du gâteau et t'éclatez rapidos. Mais elle revient immédiatement après, regonflée à bloc et occupant pratiquement une moitié d'écran ! Mais vous vous apercevrez que, là encore, c'est que d'la frime. En définitive, nous voilà face à un soft très sympathique et à la réalisation toute mimi. Malheureusement, des différences importantes existent avec les versions 16 bits, notamment le manque de diversité des adversaires et l'impossibilité de jouer à deux. La facilité déconcertante avec laquelle le premier manchot venu termine ce soft, qui aurait pu être un hit, en fait un jeu de qualité, mais sans plus. Tonton Chris (Tobald) est revenu , A100% n°41, p16-17 |
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Page créée en 574 millisecondes et consultée 2378 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |