| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ PREDATOR 2 (c) IMAGEWORKS ★ |
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Matt Murdock espérait, joystick en main, jouer le Predator, et chasser l'humain dans les rues de Los Angeles. Pas de chance, il se retrouve flic pourchassant le Prédateur, et tirant sur tout ce qui bouge. Plus shoot'em up, tu meurs !
Au premier abord, Predator 2 ressemble à son modèle cinématographique : beaucoup d'action, encore de l'action, et toujours de l'action. Si vous avez aimé les adaptations CPC de Cabal, Opération Wolf, ou le frangin Thunderbolt, Predator 2 a toutes les chances de vous bousiller les neurones, puisqu'il perpétue le genre avec force et conviction. SI CE N'EST SHWARZY, C'EST DONC SON FRERE L'action commence dans les rues de Los Angeles. Vous n'êtes pas Schwarzy (comme dans le premier film), ni même son frère (comme dans la BD, superbe), mais un flic. Du nom de Mike Harrigan. Le genre de flic tellement balèze que le Predator va vous prendre comme proie ultime, gibier classieux qui fera un superbe trophée sur la carcasse de son vaisseau extra-terrestre. Le problème, c'est qu'avant de vous mesurer au chasseur rasta, il vous faudra descendre des milliers de dealers courant dans tous les sens sur l'écran de votre CPC.
DES MILLIERS DE DEALERS Oui, j'ai bien dit des milliers. Predator 2 ne fait pas dans la dentelle. La silhouette du flic que vous interprétez (via joystick) est vue de dos, arme au poing. Alors que votre regard balaie le décor se mouvant en scol-ling horizontal, vous déplacez un viseur qui va vous permettre de dégommer tout ce qui bouge à l'écran. Tout, sauf de petits groupes d'irréductibles civils servant de boucliers aux dealers hargneux. Au second tableau, on a même droit à de pauvres handicapés en chaise roulante. Les ennemis viennent de droite, ou de gauche, du centre, tirent, se jettent au sol... Comme dans Opération Wolf, défilent en plus de vos adversaires des options qu'il faudra viser pour récupérer chargeurs, énergie, et armes supplémentaires.
OPTION WOLF J'ai pas compté les flingues à ramasser en route, mais il y en a un paquet. Même chose pour les chargeurs. Si vous venez d'acheter le jeu, je vous •conseille d'économiser vos balles pour conserver les tirs les plus rapides pour les fins de niveaux particulièrement speed. Evitez aussi à tout pris les otages, et surtout, contenez votre haine du monstre, du Predator. Faites semblant de ne pas voir sa silhouette vous suivre en se confondant dans le décor urbain. Oubliez-le, et il vous oubliera. Et gardez-le pour la fin. DERNIERES FLECHES Predator 2 laisse une vague impression de déjà-vu, et est assez répétitif. Malgré tout, il aura un certain impact sur les amateurs de tirs, sa difficulté étant parfaitement dosée. On peut ajouter que les fans purs et durs de Predator ne se sentiront pas trahis par l'adaptation. Matt MURDOCK , A100% n°38, p50 |
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Page créée en 479 millisecondes et consultée 3385 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
