★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ NEW YORK WARRIORS (c) VIRGIN GAMES ★ |
A100% |
Attention, ne vous fiez pas à votre première impression. Comme Eléphant Man, la laideur apparente de New York Warriors cache d'indéniables qualités. JOUER A DEUX, C'EST BON ! C'est ensuite que l'affaire se corse visuellement Décors et graphismes, crades, animation limite. Tout au moins, et au risque de me répéter, lors de la première impression. Car New York Warriors, petit.soft sans prétention, va vous faire passer d'excellents moments. Déjà, premier point important : il est possible déjouer à deux. Et c'est bien agréable lorsqu'on se trouve sous le feu nourri de nombreux adversaires.
TUER POUR SAUVER DES VIES Le but du jeu est de sauver New York de la destruction, vos ennemis ayant placé une bombe au centre même de la ville. D'ailleurs, à chaque fois que vous échouez dans cette mission, s'affichera à l'écran une superbe animation (les graphismes et les couleurs sont, là, époustouflants) représentant la destruction de la ville par un énorme champignon atomique. Pour éviter cette horreur fatale, une seule solution : tirer, et encore tirer... CLASSIQUE MAIS FUN Voilà ce qu'on appelle un shoot'em up. On avance, et on dégomme. Purement et simplement Le style de soft qui rappelle la grande époque d'lkari Warriors et de Commando. Une époque où régnait en maître une seule obsession : le Game Play, c'est-à-dire, la jouabilité. Pour le reste, Û y a peu de surprises. Les armes sont classiques, et on peut en ramasser des plus puissantes dans les rues dévastées (lance-missiles, tirs multiples-). Il y a des ponts à traverser, des hommes volants (éviter leurs tirs en se déplaçant latéralement), des mines à détruire, des soldats cachés, et toutes ces sortes de choses.
MORT AUX RAMBOIDS II y a quand même quelques originalités. Des petits détails dans les décors, par exemple. Comme ces rats traversant la route, ou les écrans entre les niveaux présentant les gangs à dégommer (mention spéciale pour les Ramboïds). Même chose pour les déplacements des deux héros : on peut les faire marcher à reculons, tirer en transversale, bref la totale pour une parfaite jouabilité. En bref, si vous achetez un jeu pour l'admirer et le disséquer, laissez tout de suite tomber New York Warriors. Mais je pense qu'on achète d'abord un jeu pour s'éclater, non ? Matt MURDOCK , A100% n°31 , Fev 91 , p95 |
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Page créée en 514 millisecondes et consultée 3337 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |