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Arcade/AventureUn service entier du célèbre FBI vient d'être attaqué. Des agents secrets d'un pays hostile, dont la nationalité reste sombre, tentent de faire chanter le gouvernement américain : la libération d'espions, jugés de première catégorie, emprisonnés aux USA, contre celle des employés du FBI, sinon ils feront sauter l'immeuble. Le laps de temps pour céder à leurs exigences, bien que n'étant pas fixe, semble très court.
En désespoir de cause, le gouvernement US a fait appel à un conseiller en informatique, spécialiste des situations scabreuses. Après enquêtes et réflexions, il a réussi à déterminer que la minuterie de la bombe est placée au 62eme étage. Dans son zèle, il a également trouvé le code d'arrêt de la minuterie ; malheureusement, il n'a pu le communiquer... Découvert, il a été enfermé au sous-sol de l'hôtel. Tel le petit poucet, il a réussi à lâcher des indices à travers l'immeuble. En désespoir de cause, le chef du FBI fait appel au super-agent nommé Trévor et, devinez... Vous venez de perdre votre ancienne identité, qui vous servait de couverture, autrement dit vous êtes Trévor ! Le principe de base du jeu est, comme son nom l'indique, l'ascenseur. D'une bonne utilisation de cet instrument dépend votre victoire ou votre défaite. Tous vos adversaires l'ont bien compris. L'archétype même de l'espion et ses frères jumeaux tenteront (en vain, je l'espère) de vous empêcher d'accomplir votre mission (désolé, c'est là que la Marseillaise arrive, mais, malheureusement, le disque est rayé). Vous pouvez également fouiller le sol et y trouver différentes choses, comme des clés ou cinq minutes ? No problem. Asseyez-vous dans un siège, et une pause s'effectuera, dans un siège, et une pause s'effectuera. Enfin, vous voulez multiplier vos modestes revenus d'agent super-ultra-confidentiel ? Facile ! tentez votre chance au jeu !
Le graphisme est superbe, comme de bien entendu. Le scénario tient la route et, pour une fois, une note d'humour est présente. On peut même saouler les barmen et subir soi-même les effets pervers de l'alcool. Le réalisme des situtations et le style un peu BD du jeu ne font qu'augmenter sa qualité. Pour petits et grands, voir même les très grands (Pépé, lâche le joystick, s'il te plaît). Dois-je vous dire bonne chance Trévor ? AMSTAR n°2 |
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