★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ MACH 3 (c) LORICIEL ★ |
A100% | Amstrad Action | Amstrad Magazine | TILT |
Gwendoline, c'est ma fiancée (malheureusement pas celle de la BD erotique et choc) mais pas mal quand même, il n'y a qu'à regarder la jaquette (poitrine avenante et cambrure prononcée). Bref Gwen a été envoûtée par ce foutu sorcier de m... qu'est Stax. Alors tu comprends, toi et tous les autres lecteurs, que je ne pouvais pas laisser passer ça. Par principe surtout car comme dit le dicton, une de perdue dix de retrouvées.C'est vrai (comme dit Stéphane Schreiber) qu'il y a des choses avec lesquelles on ne plaisante pas : le sida, Marylin Monroe, les crottes sur les trottoirs, Georges Brize et vous. Bref, après un dernier baiser à la tendre élue de mon cœur je grimpe sur l'aile de mon appareil, puis descends dans le cokpit, attache ma ceinture et mets les gaz. De toute façon j'avais envie de me le faire le Sfax. Alors voici un bon prétexte, non ! Finalement il a la belle vie lui, il a le droit à tous les vices. Il n'y en a vraiment que pour les ordures dans ce bas monde et bien ça va changer. Action Tout commence par un immense désert pas très désertique. Qu'est-ce qu'il y a comme mines, obus et ennemis obtus en tout genre (genre arcade d'ailleurs). C'est un désert mal fréquenté en tout cas. Voilà les dangers qu'il me faudra affronter et que j'affronte d'ailleurs pour retrouver ma chère et adorable Gwendoline. Le vaisseau soit dit en passant d'un graphisme et d'une animation terribles se dirige à l'aide des touches curseur (voir d'autres). Et oui le tableau de bord de mon engin se présente sous la forme d'un clavier de PC. Je dois faire attention à ne pas voler à une altitude trop basse (plus de cinq mètres) ni trop haute sous peine de destruction prématurée, ce qui m'ennuirais beaucoup. En rase mote, les mines explosent et moi avec, en altitude, les vaisseaux ennemis font mouches à tous les coups. Sans parler des météorites qui tombent sans crier gare (de toute façon elles ne savent pas crier). Le ravitaillement en vol s'effectue en rase mine en pénétrant sous des portiques disséminés tout au long du trajet. Enfin cette petite escapade ressemble à un véritable jeu d'arcade pur et dur comme j'en ai peu sur mon CPC au château. Ai-je déjà dit que l'animation de mon appareil est terrible comme celle des décors ? Bon je branche mon flightman et je laisse, j'aperçois Stax... Michel Roveau , Amstrad Magazine n°23 |
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Page créée en 184 millisecondes et consultée 7980 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |