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La première chose à faire, avant d'entamer l'aventure, c'est de tourner le potentiomètre du son à zéro et cela le plus vite possible ! L'auteur a cru bon d'accompagner son jeu d'une musique permanente. Pourquoi pas ! Il a choisi le quatrième mouvement de la neuvième symphonie de Beethoven. Ah ! c'est beau ! Oui, mais quand c'est mal programmé et en boucle, bonjour la folie ! Le son est coupé ? Voyons le scénario. Il était une fois un petit sprite qui en avait marre de ne pas vivre libre. Il se disait : « Pourquoi suis-je obligé de rester prisonnier de l'ordinateur ? » Et il décida de s'évader. Comment ? Mais avec votre aide, bien entendu ! Vous voilà donc aux commandes d'une petite chose à roulettes qui vous permettra de visiter les RAMS, ROMS, microprocesseur et tout ce qui se trouve sous le capot de votre jolie bécane. Une idée originale, donc, et bien réalisée dans l'ensemble. L'écran se divise en quatre fenêtres : une pour l'animation (très simple), une pour les informations, une autre pour les objets ramassés et la dernière pour les icônes, comme sur le grand Mac ou sur l'Atari. Car le jeu est géré dans son ensemble par ces icônes. Avec votre joystick, vous choisissez l'une des dix options proposées par les dix petits dessins. Quand vous validez, avec le bouton "feu", une fenêtre se superpose aux autres pour vous proposer un menu dans lequel vous choisissez une autre option, toujours au moyen de la manette de jeu. Mais que nous propose-ton ? Les possibilités sont intéressantes. Nous pouvons parler avec les octets, manipuler des objets, écrire des observations sur un carnet de notes, etc.Pour les anglophones uniquement Icon Jon est un jeu d'aventure original qui ne se signale pas par son animation (très élémentaire) mais par sa richesse de possibilités. Il n'est pas question d'y jouer sans connaître l'anglais.
Patrick Yoann , AMSTRAD MAGAZINE n°20 (Mars 1987) |
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Page créée en 639 millisecondes et consultée 3424 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
