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TITUS ET EREBUSLaissez-moi vous conter les aventures de Titus et Erebus. Once upon a time, a gentle cutter-man... Excusez-moi, monsieur De Villiers. Il était une fois un brave bûcheron qui travaillait chez E.H Services. C'est une boîte qui adapte, entre autres choses, les logiciels étrangers pour un important éditeur français. Comme notre brave bûcheron en avait assez de couper du bois pour d'autres qui touchaient les thunes à sa place, il décida de monter sa propre affaire. Ainsi naquit Titus qui vient de sortir son premier soft nommé Erebus. Voilà comment commencent les légendes. Erebus est un jeu d'aventure qui doit son nom à un volcan de l'Antarctique, et ça tombe très bien, vu que le jeu commence là-bas. Ça commence là-bas mais si tout se passe bien pour vous, z'allez voir du pays ! L'action se passe en effet sur plusieurs continents. Enfin, pour l'instant vous n'êtes pas encore à Paris. Le jeu vient de commencer. Alors que vous survolez le volcan avec une équipe d'archéologues afin de l'étudier, votre zinc tombe en panne et c'est l'accident. Vous voilà le seul survivant de l'expédition et l'avion est inutilisable.
Votre seul chance est de rejoindre le camp de base français qui se trouve quelque part sur la côte. C'est pas pour vous presser mais à votre place, je ne traînerais pas trop. Il fait de plus en plus froid et un indicateur situé en haut de l'écran vous informe que votre métabolisme basai est en train d'en prendre un grand coup : bref, ça caille un maximum et la température de votre corps baisse dangereusement. Z'avez intérêt à bouger, d'autant plus que d'est très facile, y a qu'à cliquer ! Tout fe jeu se commande avec un joystick ou une souris. Outre la fenêtre qui vous montre le paysage dans lequel vous évoluez, des icônes vous informeront de votre latitude et de votre longitude, des objets que vous transportez, des directions vers lesquelles vous pouvez aller, etc. Pour aller à l'ouest cliquez sur W, pour prendre un objet, cliquez sur son dessin, pour poser ou utiliser un objet, cliquez dans l'une de vos poches. Simple, non ? Les graphismes sont clairs et attrayants et mignons et voilà. Un dernier conseil : le seul défaut de ce jeu étant l'impossibilité de sauver une partie en cours, il est absolument indispensable que vous fassiez une carte précise de tous vos déplacements, vous savez, le genre de carte sur laquelle est écrit W, N à fond, W, N, W, N, E, E. C'est un exemple, hein, m'enfin on sait jamais... Erebus de Titus pour tous les Thomson, compatibles, Commodore, Amstrad, et ST. HEBDOGICIEL n°163 |
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Page créée en 077 millisecondes et consultée 4436 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |