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Arcade/Aventure Nous interrompons un instant nos programmes pour vous faire part d'une nouvelle grave : le laboratoire de génétique constructive installé dans les sous-sols de la gare de Perpignan vient d'être mis sous le contrôle de dangereux terroristes. Rappelons à nos téléspectateurs que ce centre avait pour mission de fabriquer les cellules humaines entrant dans la composition des néo-humains que nous connaissons bien maintenant. Les pirates auraient détourné les vaillants robots de leur mission et les cellules qui sortiraient du laboratoire auraient dépassé la date limite de consommation et rendraient les néohumains, particulièrement agressifs. Et maintenant, les résultats du techno-loto". Allons bon, ces maudites machines se sont encore laissées prendre au piège vous dites-vous. Cette réflexion amère entraîne une inéluctable conséquence : vous êtes le seul à pouvoir réparer les dégâts. Armé de votre meilleures autotamponneuse à sustentation anti-gravitationnelle et de votre thermobille à rebonds, vous vous retrouvez dans une des innombrables salles du complexe laboratoire.
Voilà le point de départ de Despotik Design qui se présente sous une forme pseudo-3D aves des graphismes mignons tout plein, colorés comme seul le permet le mode 0. Dans tous les tableaux vous retrouvez des éléments constants : les portes jaunes par où sortent les Porteurs de cellules, les portes rouges : les portes du mal (Vadé rétro, Satana !) dans lesquelles se fourvoient les Porteurs et enfin les portes vertes : les portes du paradis. Il y a également des petites flèches qui, selon leur sens, dirigent les Porteurs dans l'une ou l'autre des quatre directions. Au départ les flèches conduisent les porteurs directement sur le portail rouge. Il vous appartient de modifier l'agencement des flèches. Pour déplacer les flèches il faut d'abord déposer la clé magnétique. Attention tant que la clé ne sera pas présente dans la pièce les modules porteurs sont d'un contact mortel pour vous. Ne vous croyez pas au bout de vos peines. Tout d'abord certaines flèches ne sont pas orientées correctement il faudra utiliser l'inverseur. D'autre part, une foule d'ennemis hostiles vous guettent : le champignon, le grille-pain, la poubelle, la voilure jaune (si, si, c'est vrai), le réparateur et le garde rouge. La plupart de ces objets hétéroclites vous pompent (de l'énergie bien sûr !) ou bien vous détruisent purement et simplement. A ce propos l'animation finale mérite le détour et vous laissera sur le... Un tiers d'arcade, un tiers de réflexion, un quart de beaux graphismes. Le compte n'est pas juste mais ce sont les atouts de Despotik Design. AMSTAR n°8 |
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Page créée en 235 millisecondes et consultée 5146 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |