★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ DARK CENTURY (c) TITUS ★ |
A100% | Amstrad Sinclair Ocio |
Lorsque les programmeurs de Titus sont venus nous montrer une preview de Dark Century, nous leur avons modestement fait remarquer que, malgré une apparence déjà prometteuse, de petits détails pourraient améliorer l'esthétique du soft. Eh bien, ces détails... ils les ont ajoutés !Une page de présentation en overscan ne trompe pas sur l'origine du jeu, c'est du Titus ! En tant que gardien d'une prison spatiale dont les détenus sont spécialisés dans la fabrication de chars de combat, je dois veiller à ce que les prisonniers restent sagement à leur place.
MUTINERIE SPATIALE Seulement voilà, même dans l'espace, l'envie de faire le mur existe chez les détenus, et certains d'entre eux ont fomenté une mutinerie diabolique pour s'évader du satellite. Us se sont emparé de tanks qui les aideront à gagner Taire de lancement. Lorsque les fugitifs seront en sécurité, ces tanks exploseront provoquant suffisamment de dégâts pour permettre à d'autres prisonniers de s'évader ! Je dois donc les détruire impérativement. LE MATON A L'ATTAQUE Le menu général du soft me donne la possibilité de choisir un jeu à un ou deux joueurs et le nombre de tanks que je souhaite diriger. J'en prends cinq (le maximum) et je pars aussitôt à la recherche des évadés. Le maniement des véhicules ne pose aucun problème. Il est difficile, par contre, d'assimiler le concept énergétique des machines : une seule et même source d'énergie sert à se mouvoir, à tirer et à se protéger (à l'aide d'un bouclier). Cela signifie que plus le char avance vite, plus sa puissance de feu et sa résistance aux impacts ennemis sont faibles. PAS DE QUARTIERS ! Dans l'écran de jeu en mode 0 assez petit, mon tank avance sur une sorte de pelouse, séparée par des bandes horizontales en deux teintes de gris" différentes, qui rendent la sensation de vitesse. Je fonce droit sur les cibles que mon radar a accrochées. Lorsque je suis à bonne distance, je diminue la vitesse de mon char pour gagner en puissance de feu et j'envoie des rafales laser sur les ennemis, qui explosent au bout d'un certain temps (quand je dis un certain temps, en fait c'est vraiment long !). En tirant à bout portant sur des boules d'énergie qui se déplacent dans l'aire de combat, je peux recharger mes batteries de temps à autre. Un appui sur FI me fait passer dans un autre tank.
EVASION REUSSIE ! Dans le cas d'une partie à deux joueurs, l'écran se sépare verticalement et la plupart des compteurs qui me renseignent sur l'état de mon tank disparaissent avec le radar. Difficile, dans ces conditions, d'empêcher une évasion organisée de longue date-! Restent deux bons points : on peut jouer au clavier ou au joystick, et la musique est assez travaillée. Un soft honnête, sans plus. Lacsap , A100% n°29 |
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Page créée en 102 millisecondes et consultée 2952 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |