★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ 4X4: OFF ROAD RACING (c) EPYX ★ |
MICRONEWS | Amstrad Action | A100% |
Au volant de ma petite 4x4 japonaise, j'allais affronter la vallée de la Mort. Mais avaîs-je bien préparé ma voiture pour ce genre de course, n'allait-elle pas finir contre un malheureux cactus ?
Je ne savais même pas pourquoi j'avais pris cette voiture-là. J'avais le choix entre la Stormtrooper de chez Cox, une énorme voiture américaine, la Taran-tula, un lourd pick-up, la Highlander, une bonne grosse voiture anglaise et la Katana, celle que j'avais prise. Chacune de ces voitures possédait des caractéristiques intéressantes, puissance, poids, consommation, résistance. Le choix n'avait pas été facile. Mais le plus important restait à faire, il fallait que j'équipe ma voiture. Pour cela, je devais me rendre dans deux magasins. UNE COURSE EN VILLE Dans le premier magasin je finis la préparation de ma voiture, je peux y ajouter un réservoir supplémentaire, un treuil ou une capote métallique, qui me permettra d'emporter plus de matériel. Le second magasin est spécialisé dans les pièces détachées. Il faut donc définir ses besoins en fonction du terrain que l'on aura à affronter. Inutile de prendre de Veau si l'on choisit de traverser le Michigan couvert de boue et de neige. Par contre, on a toujours besoin de liquide de transmission, de bidons d'essence ou d'une carte. Il faut parfois faire un choix difficile. Se faire accompagner d'un mécanicien est certes rassurant, mais le poids qu'il prend sera peut-être un handicap. FROID OU CHAUD ? Les quatre courses possèdent leur propre difficulté ; que 1 on choisisse le désert ou la neige, la boue ou la montagne la partie ne sera pas de tout repos. Entre la Baja, mille miles de désert et de lacs desséchés avec des plateaux montagneux rocailleux, la vallée de la Mort, un désert comme on n'en fait plus, la Géorgie, une étendue de boue et le Michigan, froid et couvert de neige, une chose est sûre, la route ne défilera pas à l'écran comme le bitume de l'autoroute. ENFIN DE L'ACTION Le pied à fond sur l'accélérateur, je lance mon bolide des pistes. Pour ce qui est de la nervosité, nen à dire, pour la direction, idem. Heureusement, parce que ce ne sont pas les obstacles qui manquent. A chaque choc, j'ai l'impression que ma voiture va exploser. Mais ce n'est pas toujours le cas ; cependant, chaque coup que prend la voiture, l'abîme un peu. Mais tant que ça ne la ralentit pas. il n'est pas question de l'arrêter. En plein milieu de la piste, un rocher me bouche le passage ; j'ai beau essayer de l'éviter, impossible, je suis bon pour un petit saut et un pneu crevé. Mieux vaut arrêter là les frais et penser à réparer, même si cela me fait perdre un peu de temps. Vu l'état de ma voiture, ça prendra du temps ; heureusement, j'ai tout ce qu'il faut. En cliquant sur l'endroit endommagé, l'ordinateur indique le matériel nécessaire à la réparation. Un petit coup d'œil à la carte pour voir où j'en suis et je repars. Mais, rapidement, la piste est de nouveau coupée par une coulée de boue. En me mettant bien au centre de la piste, une bosse me fait décoller et je me retrouve de l'autre côté. Pour un début ça ne se passe pas trop mal mais il est possible que ça ne dure pas. Si l'on ne peut pas considérer ce soft comme une véritable simulation, il est tout de même bien fait - bien qu'un peu lassant à la longue. A100% n°12 , p89 |
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Page créée en 590 millisecondes et consultée 5368 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |