★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ THE GAMES: WINTER EDITION (c) USGOLD/EPYX ★ |
A100% | Amstrad Action |
Déjà deux ans que les Jeux de Séoul ont eu lieu, il faut maintenant se préparer pour les Jeux d'hiver d'Epyx, une charmante petite bourgade des Etats-Unis. Les autres villes commencent à faire une drôle de tronche, puisque c'est la deuxième fois qu'Epyx organise ces jeux.
Eh oui, la dernière fois cela s'appelait Winter Games et, à part l'intermède français de Microïds. qui n'avait eu le droit que de s'occuper du ski alpin (avec succès d'ailleurs), Epyx est vraiment la reine des neiges. Enfin, c'est avec plaisir que nous retrouvons certains sports de la précédente édition ainsi que des petits nouveaux. Le bobsleigh a été remplacé par la luge ; le biathlon, par le ski de fond. Par contre restent le patinage artistique ainsi que celui de vitesse et le saut à ski. Enfin deux petits nouveaux vont nous permettre de découvrir les pistes d'Epyx. il s'agit de la descente et du slalom. UNE RUDE PREPARATION Même si certains sports nous sont déjà familiers, leur pratique nous est plutôt inconnue. Je choisis donc de me faire une petite scéance de pratique avant l'ouverture des Jeux. Allez, je me lance sur la piste de luge. Contrairement au bobsleigh, il n'y a pas de risque de chute, par contre chaque écart par rapport au parcours idéal fait perdre un précieux temps. Il s'agit de bien négocier les courbes et de centrer son engin au maximum dans les lignes droites. Le graphisme n'est pas délirant, mais le jeu est assez prenant, surtout lorsque le nouveau record du monde est au bout du parcours. Avant de concourir, le choix de quatre pistes est offert. Mais passons plutôt au saut à ski ; la différence avec l'autre version est moindre, si ce n'est sur le tremplin où il faut diriger ses skis et éviter de trouver une issue latérale... Après cet entraînement intensif, le président ouvre les Jeux.
UNE CEREMONIE BIEN TRISTOUNETTE La première vue de la cérémonie n'a rien de commun avec celle de Séoul. Vu la raideur de la haie d'honneur au milieu de laquelle un petit gnome apporte la flamme, cela fait plutôt penser à Berlin en 1936. Enfin effaçons vite de notre mémoire cette image et revenons aux jeux. Après la cérémonie de présentation des athlètes, moi, Lipfy - France - accompagné par une Marseillaise endiablée. j'inaugure mes jeux. Je vous passe l'épreuve de luge, vue précédemment. La seconde épreuve est le patinage artistique. C'est là que les choses se gâtent L'idée de cette épreuve est excellente. Il faut tout d'abord choisir une des trois musiques, puis définir sa chorégraphie. Vous disposez pour cela de huit figures différentes. Mais il faut les exécuter à des moments inconnaissables de la musique, car dans la seconde partie il faudra les reproduire au moment décidé dans la chorégraphie. La note tient compte à la fois des mouvements choisis et du respect de la chorégraphie. Je ne vais pas vous dévoiler tous les secrets de ces compétitions, mais la notice est sur ce point très bien faite puisque, pour chaque jeu. elle donne l'historique, la façon de jouer et quelques conseils pratiques. Pierre de Coubertin a pu dire que "L'essentiel est de participer", mais dans le cas présent l'essentiel est plutôt de pratiquer. Lipfy K7: .89F LIPFY , A100% n°9, p31 |
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Page créée en 514 millisecondes et consultée 3499 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |