| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ STORMLORD 1 (c) HEWSON ★ |
| A100% | MICRONEWS |
Il y a deux mois, nous vous annoncions la critique imminente du dernier soft de Raffaele CECCO. On l'aime bien notre rafounet, et vu le succès remporté a la rédaction par Cybernoid 1 et Cybernoid 2 , nous commencions sérieusement a nous impatienter. Finalement, nous avons eu raison d'attendre.Voici un petit jeu mignon tout plein, bien différent de ceux auxquels Raf nous a habitués, mais qui féra tout de même date dans l'histoire de nos ludithèques et vous fera en tout cas passer pas mal de nuits blanches (nan c'est pas cochon !).
LE SEIGNEUR DE L'ORAGE Stormlord. c'est vous : un aventurier qui doit libérer toutes les fées emprisonnées qu'il trouvera sur son passage. Le principe du jeu est simple : à laide d'objets éparpillés dans le monde de Stormlord, vous devrez tuer d'abominables monstres, vous livrer à de terribles acrobaties, et secourir de délicieuses petites nymphettes (rien de bien nouveau, pensèrent-ils...). BIN ALORS LE JEU EST NUL ? Que nenni. que nenni ! C'est un véritable peut bijou, car je peux vous révéler, en exclusivité mondiale, que notre héros ne restera pas les mains dans les poches. Avec seulement neuf vies, il vous faudra traverser plusieurs niveaux de jeu, chacun de ces niveaux comportant cinq fées à libérer, mais aussi son lot de monstres et un certain nombre d'embûches dissimulées dans la végétation. Vous devrez éviter des plantes-carnivores, escalader de gigantesques champignons, détruire les pions et les cavaliers d'un jeu d'échecs... Mais trêve de papotages, jetons-nous au cœur d'une partie de ce jeu génial... A LA DECOUVERTE DU MONDE fi est bien fagoté ce petit monde ; rien moins que seize couleurs, des graphismes sublimes, et un scrolling très fluide (tenez-vous bien) en deux vitesses différentes : au premier plan, la végétation dans laquelle notre aventurier va évoluer, et au second plan, l'espace, frontière de l'infini, rempli d'étoiles multicolores. Résultat : une impression de relief que je n'ai jamais autant appréciée sur un CPC. Dieu que c'est mignon ! Jetons maintenant un coup d'œil sur la faune et la flore environnantes. Des plantes s'ouvrent et crachent des boules rouges vers le ciel avant de les ravaler ; par endroits, le sol s'effondre sous mes pieds et de gros vers écarlates surgissent de terre pour grouiller entre mes orteils velus... Dès le départ j'ai le sentiment que, même si les fées sont adorables, il me faudra une certaine dose de courage pour les sauver. LES MONSTRES Ils sont de deux ordres : les p'tits et les gros (pourquoi qu'il me regarde comme ça, Lipfy ? ). Pour les tuer, je dispose d'une quantité illimitée de boules d'énergie (pour les petits) et d'épées que je peux lancer en avant (plus efficaces contre les gros). Toutes ces bestioles ne me laisseront pas de repos. A l'aide des marmites que je trouverai sur ma route, je pourrai attirer les mouches, mais pour ce qui est des autres horreurs, il me faudra les tuer ou les éviter. Pour échapper aux pluies acides (d'énormes œufs tombant du ciel, qui se craquellent et laissent échapper des monstres verdâtres). je devrai me munir d'un parapluie. Quant aux bottes, réfléchissez un peu, je ne vais quand même pas tout vous dire !
LA DRAGUE Le plus souvent, les fées emprisonnées sont enfermées dans une petite grotte. A l'aide des clés disséminées dans le paysage, je dois courir les libérer. FOLLOWING LEVEL Au premier niveau, j'ai remarqué des tremplins mais j'ai hésité à les utiliser. Cette fois, c'est décidé, je me lance : je place mon personnage au centre d'un tremplin et me voilà propulsé en l'air ! Stormlord vole dans l'espace et atterrit quelques dizaines de mètres plus loin. Si vous tracez un plan rigoureux des endroits que les tremplins vous permettent de survoler, vous pourrez éviter pas mal de monstres, et donc pas mal d'ennuis (mais gaffe au tremplin qui vous jette directement sur une plante camivore). STORMLORD de HEWSON K7 : 99 F LACSAR , A100% n°16 , p14-15 |
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Page créée en 531 millisecondes et consultée 6604 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
