★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ NO EXIT (c) TOMAHAWK ★ |
A100% |
Souvent amusant, toujours percutant, l'action de se taper dessus par sprites interposés est une activité à laquelle beaucoup s'adonnent encore. No Exit nous propose de ne pas perdre les bonnes vieilles habitudes...
Qui n'a jamais rêvé de se trouver dans la peau d'un guerrier musculeux, au teint hâlé et à l'épidémie ruisselant de sueur ; un surhomme rompu à tous les arts de combat à mains nues ? Hein, qui ? Personne. Sauf moi et l'abbé Pierre (que voulez-vous, je suis un non-violent). Bref, avec No Exit (littéralement "pas de sortie"), vous pouvez être taillé dans un bâton de sucette, solide comme une allumette et avec les épaules en bouteille d'Evïan, vous pourrez vous mesurer à un type large comme deux armoires normandes mises côte à côte. Liberté, égalité... pourquoi ne pas se taper ? EUH... J'AI COMPRIS LE JEU Point n'est besoin île vous narrer un scénario qui a le mérite de ne pas exister. Aussi entrons directement dans le vif du sujet. Enfin, laissez-moi tout de même vous dire, en vitesse, que les habituelles options d'avant-jeu (un ou deux joueurs, paramètres physiques etc.) sont relativement complètes et présentées de façon originale, en overscan genre démo. Même si, en l'occurrence les cours de Logon auraient été bien utiles aux programmeurs comme dirait Poum. Enfin, ils ont essaye Pour en revenir au jeu. une fois que e vous aurai révélé que vous ave/ une série de six adversaires à anéantir va. à chaque fois, un décor différent, vous aurez saisi toute la trame psychologique du soft. Reste à voir la baston.
VOYONS LA BASTON Le personnage que vous dirigez, de petite taille, se révèle d'une souplesse étonnante. Tous ses mouvements sont d'une fluidité rare et permettent de prometteurs enchaînements. Vous avez ainsi la possibilité de vous montrer offensif (attaques), ou défensif (parades) lorsque votre barre d'énergie, à gauche, flirte dangereusement avec le plancher. A ce propos, un mouvement vous permet de récupérer de l'énergie, mais vous laisse sans défense face aux éventuels coups de l'adversaire. Autre originalité : la possibilité de vous transformer, mais seulement trois fois en cours de jeu. en gros monstre bien balèze pour balayer votre ennemi. Efficace. Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes si ce sanglant soft ne souffrait pas de quelques défauts. Par exemple, la précision des coup n'est que approximative. Définition graphique cépécienne oblige rétorqueront certains. OK. mais dans ce cas-là, il fallait dessiner de plus grands sprites. Barbarian. Le jeu de « cassons-nous la tête » par excellence, alliait la souplesse de l'animation à des sprites de grande taille. Pourtant il est sorti depuis... euh, longtemps. Enfin, toujours est-il que ce soft est bien défoulant et qu'il plaira à tous les Einstein chez qui les hémisphères du cerveau se trouvent dans chaque biceps. Chris, qui l'aura sa putain d'guerre CHRIS , A100% n°41, p70 |
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Page créée en 273 millisecondes et consultée 2279 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |