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A100%

Amstrad Action

Hewson nous sort un nouveau jeu, Eliminator. Avec un nom pareil, vous vous doutez bien que ce ne doit pas être un jeu d'aventure. Oui ? Eh bien bravo ! Fidèle au domaine où elle est la plus balèze, la célèbre maison d'édition anglaise n'en démord pas et c'est de nouveau à un shoutzetmeup (accent french) que nous sommes confrontés. LA RUSE Enfin... si on veut. Simplement, ne soyez pas étonné si le nom du graphiste est successivement Chris Wood et Hugh Binns (deux grands du CPC) sur l'écran de présentation. C'est une astuce que j'ai découverte grâce à mon sens inné de l'observation. Comment, on s'en fout? Mais je lais partager aux lecteurs mes trouvailles, moi ! Médisant, va ! Et puis, le jeu, je vais en parler tout de suite. D'ailleurs mon prochain paragraphe va avoir comme nom... LE JEU (Sous-titre : Pensées de brute épaisse. Pourquoi Lipfy ? Ca devient une fixation, ma parole.) Ohhh !! Moi être dans zoli vaisseau, moi pouvoir aller seulement à droite et à gauche, pas pouvoir voler comme petit zoîzeau. Je suis sur un tapis qui se déroule tout seul comme par magie, comme dans Traille-Blazeur, mais ça va moins vite et y'a moins de couleurs. Lipf... euh. Brutus, il aime bien les zolies couleurs, c'est dommage. Oh, mais des méchants pas beaux m'attaquent. Je leur ai rien fait moi, comprends pas. Lipf... (décidément !) Brutus est malheureux, pas aimer avoir bobo, Brutus va faire pan-pan sur méchants. Non, mais ! Pan-schlack-boum-paf. tous morts. Mais y m'ont tiré dessus eux aussi, de drôles de bulles bleues qui entament mon bouclier. et sans bouclier, BOUM ! Plus d'Brutus. Alors attention. Il faut que j'fasse gaffe à mes munitions, pasque comme mon papa il m'a dit : "Sans munitions t'es marron !" Il est intelligent mon papa, il sait faire des rimes. Mais. oh, je parle et j'avais pas vu le mur devant moi. Pan ! Deux missiles dedans et ça vole en éclats, mais y'en a d'autres qu'on peut pas détruire, ceux-là il faut les éviter à tout prix. Ah ah ! Brutus est trop fort pour ces minables, il les écrase tous. Tiens ? Qu'est qu'c'est ? Waouh. un tremplin ! Brutus vole comme un petit zoizeau maintenant, mais il descend vite. Zut ! Mais sans ça, je m'écrasais contre un mur de flammes au Heu de passer au-dessus. Comme disait mon papa : "II est parfois très utile de s'envoyer en l'air." Mais là il avait pas fait de rimes. Euh ? Un cube orange par terre. Allez, je le ramasse. Chouette, cacahuète, areuh aga. ça me donne des munitions en plus. et la pyramide bleue, là ? Ooohhh, ça me donne des armes supplémentaires pour m'aider à vaincre les pas gentils moches. Merci Hewson ! LE MOT DE LA FIN Je le consacre à vous dire que nous nous trouvons là devant une réalisation au graphisme honnête, mais sans plus. Aux musiques (une différente pendant la présentation et le jeu, c'est bien) entraînantes et correctement réalisées, aux bruitages malheureusement succincts (vive la musique), à l'animation qui paraît assez rapide, surtout grâce au tapis sur lequel vous "roulez", et enfin à la difficulté et à la richesse assez médiocres (c'est tout le temps la même chose). Bref, un jeu que SEULS les fanas de SHOOT'EM-UP peuvent acheter. Les autres, débrouillez-vous autrement... en attendant qu'il sorte en compil, par exemple. Chris, Brutus & co , A100% n°18

CPCrulez[Content Management System] v8.7-desktop/c Page créée en 184 millisecondes et consultée 4670 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent  du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko.